Avez-vous déjà entendu parler de la mémoire de l’eau ? Cette étude faite par le chercheur Jacques Benveniste, met en évidence que l’eau garde en mémoire les empreintes des substances avec lesquelles elle a été en contact même si celles-ci n’y sont plus. C’est grâce à ce procédé que sont créés par exemple les remèdes homéopathiques.
Sur cette même démarche, Masaru Emoto a mis en évidence que l’énergie de la pensée, de la parole, la musique avaient une influence sur la structure géométrique de l’eau.
En sachant que le corps humain est fait de 60 à 70% d’eau, nous pouvons donc conclure que nos ressentis, nos stress, l’impact des mots joueront sur l’harmonie de notre eau et donc sur notre santé.
Si je suis bien enceinte, mon bébé sera bien
Lorsque nous tombons enceinte, la mémoire de l’eau a un impact tout particulier puisque notre bébé se construit à travers les liquides de notre corps. Chacune de nos cellules est constituée de liquides et baigne également dans un liquide. On parle de mémoire cellulaire pour toutes les informations dues à des expériences vécues, des croyances, des conditionnements qui se mémorisent dans nos cellules.
En tombant enceinte, notre corps est déjà rempli de notre propre histoire de vie mais aussi de celle de nos parents, grands-parents et ainsi de suite. De génération en génération, nous transmettons des secrets de famille, des chocs et autres événements dont nous n’avons pas toujours conscience.
Enceinte, une mauvaise émotion refoulée viendra impacter les cellules du bébé et lui créera également un stress. Si celui-ci est minime et passager, il n’y aura pas d’impact majeur. Mais imaginez par exemple qu’une femme enceinte apprenne à son 2ème mois de grossesse, que le père de son enfant la quitte. Sa colère, sa tristesse ou peut-être sa culpabilité viendront impacter le foetus qui est en train de se développer. L’enfant en ressentira les conséquences dans sa vie d’enfant et dans sa vie d’adulte s’il ne prend pas conscience du traumatisme qui a touché sa mère quand il était dans son ventre.
Au contraire des sensations de bonheur, des petits plaisirs, des pensées positives viendront doucement bercer le bien-être de votre bébé, comme le votre !
Vivre ses émotions pour ne pas les cristalliser
Plus les émotions sont intériorisées, plus notre corps s’en nourri négativement et plus nos cellules s’en imprègnent. Les émotions ne sont pas faites pour rester prisonnières mais doivent au contraire être libérées. Acceptez de crier, sauter, pleurer, rire, danser, vous défouler dès que vous en ressentez le besoin. Nous sommes avant tout des êtres humains chargés de centaines d’émotions qui nous traversent au quotidien.
Après un choc émotionnel il est important de mettre des mots sur ce qu’on a vécu. En verbalisant les émotions, elles pourront plus facilement sortir. Vivez ensuite vos émotions comme elles viennent, acceptez-les. Il faut que les émotions sortent pour ne pas qu’elles restent dans nos mémoires cellulaires et ne pas impacter nos enfants. Se faire aider par une aide extérieure, psychologue, sage femme, est davantage important pendant une grossesse.
Les rêves peuvent aussi être plus nombreux à partir du 2ème trimestre, faites attention à leurs messages… Votre inconscient cherche à travers les rêves à réparer certaines blessures et vous aide à mettre des mots dessus.
Prendre conscience de la transmission de la vie
L’arrivée d’un enfant se prépare. On peut avoir un enfant de manière spontanée, mais il faut s’interroger sur « Pourquoi je veux un enfant ? » « Est-ce une volonté de transmettre la vie ou une volonté de la posséder de façon égoïste ? »
Avant la conception, il est important de prendre conscience de cette notion de transmission de la vie. Notre enfant ressentira inconsciemment nos raisons. Il est donc important de ne pas lui faire porter le poids d’une norme, d’une compensation, d’un mimétisme, une compagnie pour la fin de vie ou autre. Ces ressentis pourront aussi bien être transmis par la mémoire cellulaire de la mère qui produit l’ovule que par la mémoire cellulaire des spermatozoïdes du papa. En faisant ce travail de réflexion, l’enfant ne portera pas le poids de responsabilités non voulues.
Pensez aux séances de shiatsu qui sont inintéressantes pour enterrer des cycles héréditaires et partir sur de nouvelles énergies pour vous et votre futur enfant.